1. Si je dis Artaud, je fais naître des tournesols d’or dans le ciel éclaté d’astres. 2. Si je dis Tsvetaïeva, tout change, votre cœur et le mien. 3. Si je dis Noailles, je vis mille saisons, à chaque fois le Printemps et ses éblouissements. 4. Si je dis Rimbaud, l’éternité est mon territoire. 5. … Lire la suite
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Le Capital, par Hegel : une préfiguration du marxisme dans la « Philosophie du droit »
Cet article propose une lecture de la philosophie du droit de Hegel à la lumière de certaines thèses fondatrices du marxisme, élaborées ultérieurement par Marx, notamment dans Le Capital (1867). Il s’agit de montrer en quoi Hegel, bien qu’idéaliste et attaché à une structure normative de l’État rationnel, a anticipé, dans sa conceptualisation du travail, … Lire la suite
Marx et l’art : guérir, par-delà l’aliénation ?
L’art, chez Karl Marx, ne se réduit pas à une simple activité esthétique ou à une distraction culturelle. Il est profondément inscrit dans les conditions matérielles de production et les rapports sociaux qui caractérisent une époque. La lecture marxiste de l’art met en lumière sa double nature : l’art peut être un instrument d’aliénation au … Lire la suite
La joie de l’éternel retour
Le poète allemand Friedrich Schiller, dans son poème « Les Dieux de la Grèce », évoquait un « Age d’or » et dépeignait l’époque mythique où les dieux gouvernaient le monde « avec les légers liens de la joie » et où « l’amour établissait un doux lien entre les hommes, les dieux et les héros ». Ce « monde riant » a hélas … Lire la suite
Hegel et Balzac, la passion de l’absolu
Les réflexions menées par Hegel sur la passion s’inscrivent au cœur de sa philosophie de l’histoire, au sein de laquelle le philosophe souligne fortement les conséquences désastreuses des passions humaines, sources de violences et de destructions. La passion, c’est d’abord la ruine, le déchaînement barbare d’une violence contre les manifestations de la civilisation. L’écroulement des … Lire la suite